McIndia, le 146 s'exporte.

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Los Angeles - Jour 5



Départ à 12h de l'auberge, le programme est simple et suit toujours la même directive. Marcher, Marcher et Manger de temps en temps...
Aujourd'hui direction Beverly et ses sompteuses villas ainsi que ses fleuries avenues.



Je commence a être un pro du bus, aucun soucis à ce niveau et donc j'arrive à l'entrée du quartier de Beverly à 13h. Ici de haut immeuble de banques, d'hopitaux et de bureau avec par ci par la quelques magasins de haut standing.


A deux secondes près j'allais etre interviewé au pied de l'hopital ...
Pourquoi ? je sais pas trop...


Après un peu de marche je me retrouve a l'entrée des beaux quartiers ou l'on peut admirer de superbe maisons accompagnées de superbes voitures et d'arbres magnifiques. Toujours le même topo, je suis le seul à marcher dans la rue, malgré cela les automobiliste on l'air de connaitre les specimens et sont très courtois a l'approche d'un passage pour piéton.


Je ferai la même photo dans 10ans mais derrière le portail

L'après midi bien entamé je me décide a me diriger vers Hollywood afin de me satisfaire d'un petit McDonald. Une fois terminé, je me vois contraint (une nouvelle fois) de satisfaire une envie soudaine dans un buisson près de l'autoroute, qui d'ailleurs possède 10 voies a cette endroit avec un flux de voiture très impressionnant.

Après un peu de marche dans des quartiers plutôt mal entretenus (a deux pas d'hollywood et de sa rue des stars), je découvre un cimetierre nommé "Hollywood Forever" très tendance comme nom...


Rolls ou limousine, à vous de choisir quand viendra votre tour ...

Celui-ci est immense et on peut y voir de nombreuses religions avec un espace reservé pour chacune. Certaines personnes n'ont le droit qu'a une plaque 20x40 enfoncée dans le sol, d'autre possèdent leur petite fontaine et leur jardin privé.



La journée se termine simplement par un retour d'une heure avec le bus, a chaque fois la même désolation en regardant par la vitre, de nombreux sans abris dans les rues et un sentiment d'insécurité lorsque retentissent sans arrêt les sirènes de pompiers ou de la police.






Les auteurs de bandes dessinées peuvent venir signer des autographes quand ils veulent, je me tiens près



23/08/2008
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