McIndia, le 146 s'exporte.

Le premier jour j'ai été faire des courses non loin de mon hôtel. J'ai pu remarquer que les distances sont rapidement grande ainsi que les prix. La tomate du marché à 1€ le kilo il faut oublier. Ici c'est un minimum de 2,5$ (1,7€) pour les fruits et légumes. Il faut pas s'attendre à avoir un coca pas chère, ici la bouteille de 1,5 L est à 3,5$ et dans le même esprit la bouteille d'eau est au minimum à 1$. Le but de mon détour était d'obtenir de quoi manger. Après une vingtaine de minute d'hésitation rien de mieux qu'un bout de pain, de la viande et quelques tomates pour être rassasié. J'ai continué alors mon petit tour jusqu'a un petit parc de la ville (ils sont très nombreux a Adelaide) ou j'ai grignoté et commencé a sentir un peu le mal du pays. La fatigue du décalage horaire ne facilitait pas les choses. Je suis donc allé me coucher à l'hotel ou j'ai pu dormir 12h d'affiler. Le programme du lendemain était déjà fixé, me rendre à la banque pour mon compte australien quej'avais ouvert de France et rejoindre l'université pour me familiariser avec l'environnement.

Mon retour de la banque à l'hôtel se fit avec une grosse surprise. J'avais la veille échangé quelques mails avec Dany pour obtenir quelques informations, et là à l'endroit même ou j'avais envoyé mes mails se trouvait dany en chair et en os ! Après une longue discussion sur nos péripéties, nous sommes allés acheter de quoi manger chez notre cher "Hungry Jack" (Nom associé au Burger King en Australie). Nous sommes après allé visité la bibliothèque d'état et marché le long du lac artificiel d'Adelaide. Il faut savoir qu'ici les rivières ne traversent pas les villes. Aucun cours d'eau existe à proximité d'adélaide, seule une imitation de 2km de long se trouve au nord de la ville.

La journée terminée nous avons passé la soirée dans un bar avec des étudiants venus des quatre coins de la planète. C'est l'occasion de lier quelques amitié avec des étudiants de notre université que nous reverrons plus tard. La soirée se fini avec quelques appels vers la France. Ça me fit beaucoup de bien d'échanger en Français avec ceux qui m'entourent. Desormais je suis gonflé à bloc pour affronter mes prochaines préoccupations : logement, inscription à l'université...